2020.07.30
te (faire) sourires, livre d'artiste, juillet 2020
Leporello enrichi de trois gravures originales à l'aiguille, imprimées sur un papier japon dont une sur soie,
tiré en six exemplaires sur papier Vélin BFK de Rives, tous numérotés et signés par les artistes.
une création de Danielle Péan Le Roux aux éditions L’œil de la méduse
Publié dans LIVRES D'ARTISTES ET LIVRES PAUVRES
2020.07.16
vidéo-poèmes / Recours au poème
Publié dans en revues, en ligne
2020.07.14
"nos bêtes nos petites images" / revue Mange-monde / juillet 2020
in revue Mange-monde, juillet 2020, dernier numéro ; mais ce n'est pas une fin ; suivra dans la foulée le 1er de Septième sens
Revue de création poétique, Paul Sanda, éditions Rafael de Surtis, Cordes sur ciel
texte mis en voix et sonorisé par ailleurs l'auteure / extrait sur soundcloud
Publié dans en revues, en ligne
2020.07.09
"FAIM" / festival international et plurilingue de poésie en ligne / 5 juillet 2020
FAIM, né du confinement
FAIM ! C’est de la poésie sous toutes ses formes, en voix, en images. Chaque dimanche à 11 heures, du 3 mai au 5 juillet 2020, à l'heure du brunch ou du mâchon, une dizaine de poètes, des voix multiples, des lectures filmées, du direct.
FAIM est international et plurilingue, des poètes s'y rassemblent au-delà des frontières.
FAIM c'est une page Facebook avec des ressources : références des livres et photos des autrices et auteurs, liens vers les sites d'éditrices et éditeurs, playlists pour revoir chaque vidéo, chaque lecture
vidéo/lecture d'un passage de "Les Allantes
2020.06.29
Les Allantes, "une écriture alternée" avec Sophie Eustache, photographies de Corinne LL
“Les Allantes”, aux éditions La Renverse ; livre de poésie co-écrit avec Sophie Eustache, et de photographies (is it me ?)
ce livre (pour ma part) se situe dans la continuité de l’écriture que je développe ; faite de bandeaux de proses, de lignes, coupes, de blanc ; entre isolement du fragment et narrations
extrait
ailleurs m’appelle lointaine me nomme étrangère m’étrange m’altère le dos [pieds nus pieds durs] m’arrache à ma langue ma direction me marche [je] vagabonde barbare
langue apatride
mon corps est mon pays
je ricoche
j’écorche
le flanc des villes
le ciment est un monstre antique
gorgé de sable et d’oubli
ailleurs comme ici le temps et l’espace viennent à manquer tu ne retrouveras plus le corps ni le texte en entier maintenant il faudrait arrêter les recherches ou alors très ailleurs ou très ici
Editions La Renverse, maison d'édition dédiée à la création littéraire contemporaine, 118 rue Saint Jean, 14000 Caen
http://editions-la-renverse.com/
une note de Marina Da Silva,in "célébrer ce qui brûle", monde diplomatique, juin 2020, les livres du mois, POESIE
en vente au prix de 16 euros auprès de l'éditeur, en librairies,
auprès de l'auteure (dédicacé petit mot doux)
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une sélection d'extraits sur la revue de poésie et de critique d'Angèle Paoli
terres de femmes, Sophie Eustache, Corinne Le Lepvrier | El blâd el medina le pays la ville
Publié dans Les Allantes
2020.06.08
dedans-dehors #54
is it us ?
is it me ?
is it them ?
photographies Corinne LL /Thailande, Koh Phangan Chaloklum / mars 2020
Publié dans _DEDANS-DEHORS-FRAGMENTS
2020.04.21
avril 2020, extrait de "la preuve jusqu'au sommeil", inédit ©
Les carnets d'Eucharis 2020, poésie | littérature | les arts de l'image
avec Sophie Loizeau, André Markowicz, Anne-Lise Blanchard, Jacques Estager, Corinne Le Lepvrier, .... Martine Konorski..., Angèle Paoli,...
extrait ; premières lignes ;
…/...
quelqu’un d’autre était comme mon père quand il a dit petit chat et aussi lui faire un petit
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ma mère je l’aurais aimé Castafiore
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plus ça va plus je dirai juste mes ailes d’ange je n’ose pas les accrocher au-dessus de mon lit
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la petite pâte de mon chat appuyée sur ma main sous le drap
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ne m’en veux pas si c’est écrit comme ça c’est presque la nuit
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je ne sais pas à qui dire quelqu’un d’autre elle était comme ma mère quand elle a dit et fait quelque chose
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ce n’est pas tout à fait fait pour être écrit mais pour être entendu
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comme mon chat ronfle mon père ronflait très fort avant de mourir et le mot est faible / ma mère avant elle avait enflé ses doigts
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plus jamais je n’écrirai toutes sortes de choses comme petite comme je suis ou tu me ferais pas un escalier
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jamais jamais on ne verra la famille tortue courir après les rats
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c’est de la folie quand tu veux ne pas dormir comme ça
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CONTACT : Nathalie Riera
L’Atelier des Carnets d’Eucharis
L’Olivier d’Argens – Chemin de l’Iscle
BP 90044 83521 Roquebrune-sur-Argens Cedex
Publié dans en anthologies, collections
2020.01.08
31 janvier 2020, "Ecrits/studio" / théâtre des Asphodèles / Lyon